De çi, de là, la jardinière des "4 coins au jardin", musarde, le nez au vent, une brindille au coin des lèvres. Elle rêve, hume, réanchante les beautés de la nature, s'envole pour se nourrir d'autres plaisirs.
A son retour, elle contemple son mac de cet air lointain, peu motivée à taper sur les touches ivoires et puis soudain, les effluves florales agacent ses narines, le pépiement des oiseaux l'émeuve et l'attire vers le jardin, havre de douceur.
Elle se remémore ce doux mois de mai.